L'écriture, une passion
Passionnée d'écriture depuis l'enfance , j'ai commencé en 2016 une nouvelle aventure professionnelle :
à ma casquette d'orthophoniste j'ai ajouté celle de rédactrice en langue française.
Cette activité m'a permis de découvrir de nouveaux univers qui sont autant de terrains de jeu.
Je vous invite à découvrir ici mes différentes collaborations et réalisations.
à ma casquette d'orthophoniste j'ai ajouté celle de rédactrice en langue française.
Cette activité m'a permis de découvrir de nouveaux univers qui sont autant de terrains de jeu.
Je vous invite à découvrir ici mes différentes collaborations et réalisations.
Mes collaborations
J'ai eu le plaisir de réaliser des articles de blog, du storytelling, du copywriting et un Livre Blanc pour :
- l'entreprise HappyNeuron by SBT
- la rubrique "bien-être" du formidable blog "Bien Habillée" par Emma DENAIVE-ROTH
Les nouvelles
Tout a commencé en août 2011. Des anecdotes d'abord, puis des nouvelles : le plaisir de raconter était né. Un immense plaisir, qui s'est parfois mu en nécessité pour traverser certaines épreuves de la vie : écrire permet de déposer sur le papier ses marées noires afin qu'elles ne polluent pas l'océan intérieur. En somme, j'ai eu le geste vert avec mon stylo ! Plaisir et résilience donc, mais surtout une aventure formidable que je vous invite à découvrir ici.
Balzac Paris
Ecrire, c’est avant tout une expérience intérieure qui consiste à exprimer ses émotions. Il faut aller les chercher au plus profond de soi comme un mineur dans sa mine et ensuite trouver les mots qui traduiront ces émotions le plus fidèlement possible. Dans un premier temps, cela demande donc d’être honnête avec soi-même et de pouvoir s’observer sans jugement car on ne sait jamais vraiment ce qu'on va trouver...
C’est aussi une rencontre avec le langage, un jeu avec ces unités qu’on appelle les mots : ceux qu’on connaît bien ou depuis longtemps et ceux qu’on vient de découvrir. Lorsqu’on apprend un mot nouveau, c’est comme si l’on faisait connaissance avec un nouvel ami. Certains ont une phonologie particulièrement comique. Tenez, par exemple, la "gargoulette", cet objet en terre cuite dont les tunisiens se servent pour aller pêcher le poulpe. Je vous accorde qu'il est très peu fréquent dans le vocabulaire haut-savoyard mais il est tellement drôle à prononcer que je la garde sans un coin de ma mémoire ! D’autres mots sont bien plus sérieux. Généralement conçus avec une morphologie en acier brossé, ils sont implacables et inaltérables. « Antibactérien » en est une bonne illustration : un préfixe, une racine, un suffixe. Simple et efficace. On ne tergiverse pas avec ce mot-là. A l'extrême, certains mots pourraient même paraître austères. Laissons les de côté. Et puis, bien sûr, il y a les mots qui sont beaux et poétiques, mais ils n’y sont pour rien, ils sont nés comme ça. Prenez « giroflée » ou « diaphane » par exemple. Il y a ceux qui sont courts comme « hier », ceux qui sont longs comme « maintenant », ceux qu’on a plaisir à prononcer parce qu'ils sont aussi voluptueux qu’une dégustation de chocolat noir. Des mots qui viennent ravir le corps depuis les cordes vocales qui les ont vu naître jusqu’aux lèvres qui les projettent ou les susurrent, tous ces mots portés par un souffle enthousiaste. (Diable ! Ne serais-je pas en train de vous faire un cours condensé de physiologie de la parole, comme ça , l'air de rien ? C'est le naturel professionnel qui est revenu au galop, excusez-le...). Tous ces mots donc, qui sont autant d’amis que d’univers à découvrir. Parfois, certains mots en appellent d’autres, c’est à croire qu’ils se téléphonent entre eux. D’autres vont inspirer la suite de la phrase, car ils nécessitent un éclaircissement. « Il était vert », certes, mais comment ? « Vert de rage », « plus vert qu’une jeune pousse », « vert de terre ? » C'est la magie des mots et on pourrait s'arrêter là… Fin de l'article.
Mais, si je m'arrêtais là, ce serait vous mentir par omission . Pour être honnête, dans ma rencontre avec le langage, la rigueur est aussi de mise : syntaxe et pragmatique sont mes lois gravitationnelles de l'écriture pour relier les mots et les idées, sinon c'est le bazar dans la galaxie. Enfin, un dernier temps de relecture et de pause s'avère nécessaire, car le texte doit être fluide et reposé pour que le lecteur le digère et l’apprécie.
Si vous me suivez toujours, vous ne serez pas déçus, car je vous ai gardé le meilleur pour la fin : écrire, c’est ouvrir des possibles. C’est raconter une façon de voir le monde, donc ma façon de voir le monde. On peut vivre tout une vie en enchaînant des événements sans prendre le temps de sentir leur impact sur soi-même. Mais on peut aussi laisser venir des évocations : des images, des sons et des mouvements, c'est-à-dire, se sentir vivre. Ceux qui en font un art de vivre deviennent des sages. On peut appeler cela rêver, mais je crois que c’est aussi une façon d’ouvrir des horizons et d'entrer dans des mondes où tout devient possible. Absolument tout. Vivre mille vies en une seule. Qui est partant pour un saut en parachute sous l’eau ? Qui veut devenir une feuille de saule pour sentir la caresse d’une brise printanière ?
C’est aussi une rencontre avec le langage, un jeu avec ces unités qu’on appelle les mots : ceux qu’on connaît bien ou depuis longtemps et ceux qu’on vient de découvrir. Lorsqu’on apprend un mot nouveau, c’est comme si l’on faisait connaissance avec un nouvel ami. Certains ont une phonologie particulièrement comique. Tenez, par exemple, la "gargoulette", cet objet en terre cuite dont les tunisiens se servent pour aller pêcher le poulpe. Je vous accorde qu'il est très peu fréquent dans le vocabulaire haut-savoyard mais il est tellement drôle à prononcer que je la garde sans un coin de ma mémoire ! D’autres mots sont bien plus sérieux. Généralement conçus avec une morphologie en acier brossé, ils sont implacables et inaltérables. « Antibactérien » en est une bonne illustration : un préfixe, une racine, un suffixe. Simple et efficace. On ne tergiverse pas avec ce mot-là. A l'extrême, certains mots pourraient même paraître austères. Laissons les de côté. Et puis, bien sûr, il y a les mots qui sont beaux et poétiques, mais ils n’y sont pour rien, ils sont nés comme ça. Prenez « giroflée » ou « diaphane » par exemple. Il y a ceux qui sont courts comme « hier », ceux qui sont longs comme « maintenant », ceux qu’on a plaisir à prononcer parce qu'ils sont aussi voluptueux qu’une dégustation de chocolat noir. Des mots qui viennent ravir le corps depuis les cordes vocales qui les ont vu naître jusqu’aux lèvres qui les projettent ou les susurrent, tous ces mots portés par un souffle enthousiaste. (Diable ! Ne serais-je pas en train de vous faire un cours condensé de physiologie de la parole, comme ça , l'air de rien ? C'est le naturel professionnel qui est revenu au galop, excusez-le...). Tous ces mots donc, qui sont autant d’amis que d’univers à découvrir. Parfois, certains mots en appellent d’autres, c’est à croire qu’ils se téléphonent entre eux. D’autres vont inspirer la suite de la phrase, car ils nécessitent un éclaircissement. « Il était vert », certes, mais comment ? « Vert de rage », « plus vert qu’une jeune pousse », « vert de terre ? » C'est la magie des mots et on pourrait s'arrêter là… Fin de l'article.
Mais, si je m'arrêtais là, ce serait vous mentir par omission . Pour être honnête, dans ma rencontre avec le langage, la rigueur est aussi de mise : syntaxe et pragmatique sont mes lois gravitationnelles de l'écriture pour relier les mots et les idées, sinon c'est le bazar dans la galaxie. Enfin, un dernier temps de relecture et de pause s'avère nécessaire, car le texte doit être fluide et reposé pour que le lecteur le digère et l’apprécie.
Si vous me suivez toujours, vous ne serez pas déçus, car je vous ai gardé le meilleur pour la fin : écrire, c’est ouvrir des possibles. C’est raconter une façon de voir le monde, donc ma façon de voir le monde. On peut vivre tout une vie en enchaînant des événements sans prendre le temps de sentir leur impact sur soi-même. Mais on peut aussi laisser venir des évocations : des images, des sons et des mouvements, c'est-à-dire, se sentir vivre. Ceux qui en font un art de vivre deviennent des sages. On peut appeler cela rêver, mais je crois que c’est aussi une façon d’ouvrir des horizons et d'entrer dans des mondes où tout devient possible. Absolument tout. Vivre mille vies en une seule. Qui est partant pour un saut en parachute sous l’eau ? Qui veut devenir une feuille de saule pour sentir la caresse d’une brise printanière ?
Sophie Fontaine
Ecrire, c’est tout ça ! Et au bout de l'expérience, c’est un cadeau pour le lecteur, un cadeau qu’il peut accepter ou refuser s'il ne lui convient pas. Ici, les retours sont gratuits. En écrivant, je vous offre un bout de mon univers, je vous fais partager mes émotions, mes souvenirs, mes réflexions et mes rêves, et, si je peux vous toucher ou vous faire rire, nous aurons vécu un bon et beau moment. C’est aussi une dédicace à tous ceux qui m’ont inspirée et l’occasion ici de les en remercier.
A votre service
Si vous souhaitez travailler avec moi, voici les qualités d'écriture que je mettrai à votre disposition :
- l'écoute, grâce à ma pratique de l'entretien clinique en orthophonie,
- l'esprit de synthèse : littéraire et scientifique, j'aime que les choses soient belles et limpides !
- la précision et la rigueur, indispensables dans le contenu comme dans la forme,
- la polyvalence : mon style caméléon s'adapte à votre contenu et à votre lectorat,
- la créativité : j'aime les défis qui stimulent l'imagination,